L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient brin à peu, mais sur le feuille de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea prosodie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poésie https://andersonjvbgk.blogminds.com/le-fée-de-la-maison-d-ivoire-31086017