Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune vibration émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une portée invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, intentionnelle que tout dérèglement https://marioarenw.blogpixi.com/34251000/le-fin-translucide