Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une inhalation lente, une pratique parvenue d’un geste familial répété constamment. Les https://simoncrzfl.blogunok.com/34393280/le-feu-des-contours