Sous la vaste rond translucide du dôme martien, les journées s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids croissant des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, délicatement mouvantes, comme par exemple une vapeur dense qui refusait de répandre. Ces emblèmes, nées des regrets cachés et non https://hectorpuaeh.vidublog.com/33305464/le-retour-du-dôme